Marina, journaliste pour la commune du Pecq, a accepté de répondre à nos questions.
Peux-tu te présenter ?
Je m’appelle Marina et j’ai 42 ans. Je suis journaliste de formation. Des études que j’ai réalisées au sein de l’Ecole supérieure de journalisme dans le 13e arrondissement à Paris, juste après avoir eu mon bac Sciences techniques et tertiaires (STT). J’ai ensuite intégré un emploi jeune, fait quelques piges, travaillé comme journaliste dans une commune, puis voyagé pour apprendre l’anglais. Deux ans plus tard, à la sortie de l’école de journalisme, j’ai repris mes études pour aller à l’université à Marne-la-Vallée en Maitrise de sciences politiques que j’ai terminée par un DESS géopolitique européenne. L’équivalent du Master 2, maintenant. J’avais un besoin d’apprendre et de me nourrir intellectuellement. C’est fait !
Que fais-tu dans la vie ?
Je suis actuellement journaliste pour la commune du Pecq pour laquelle je réalise le journal. Cela me va car je retrouve le terrain, la proximité avec les gens, le fait de faire part de ce qui passe localement dans leur ville. J’aime ça ! Et ça me manquait après avoir été journaliste pour différents médias pendant huit ans en tant que pigiste, notamment autour des sujet tels que les ressources humaines, le handicap, le social et médico-social. Là, je traite de tous les sujets liés par exemple à la vie culturelle, associative, à l’urbanisme, à la police municipale. Cette variété de sujets me permet de ne pas m’ennuyer et d’apprendre toujours plein de choses.
Es-tu une parisienne d’origine ?
Je suis née à Paris mais j’ai vécu en région parisienne, à Sartrouville dans les Yvelines jusqu’à mes 24 ans. Habiter à Paris me permet de me déplacer plus facilement, de ne pas dépendre des horaires des trains de banlieue pour rentrer le soir. Parce que j’ai tout à portée de main. Tout devient plus accessible et fluide, moins prise de tête dans mon quotidien. Après avoir vécu quinze ans dans le 18e arrondissement près de Clichy, j’habite depuis trois ans dans le 17e près, des Batignolles.
Qu’est-ce qui te plaît à Paris ?
C’est bizarre, mais j’aime ce sentiment de liberté que cette ville me procure, d’aller et venir à ma guise, sans rendre de compte. J’aime cet anonymat qui me va bien. Il y a toujours du monde, c’est vivant !
Réalises-tu des sorties culturelles ?
Malheureusement, je ne peux pas profiter de toutes les possibilités qu’offrent cette ville, notamment culturelles. Par manque de temps, déjà, mais aussi, pour des raisons financières. Tout coûte cher. Donc je m’accorde deux à trois sorties par an au théâtre. Je vais que rarement voir des expositions. Cela m’intéresse moins. Mais je vais souvent au cinéma. J’adore !
Quelles sont tes activités favorites à Paris ?
Flâner dans Paris, comme ça sans but, me poser sur un banc, lire. Des choses simples et accessibles.
Quel sont tes adresses préférées pour prendre l’apéro, un repas ou lieux que tu aimes fréquenter pour passer une soirée ?
Je ne suis pas vraiment une vraie parisienne dans ce sens. Je passe plutôt mes soirées chez des amis, plus convivial.
Quel mode de transport utilises-tu pour tes déplacements ?
En priorité la marche à pied si je peux. Sinon, le train et le métro.
As-tu des activités annexes ?
Dès que je peux, je file à la salle de sport, près de Porte Maillot. Je suis quelqu’un qui a besoin de se défouler par l’activité physique pour évacuer mon trop plein d’énergie et retrouver mon équilibre intérieur. Cela peut aussi être aussi bien de la danse, que faire des abdos, du body pump, du vélo, de la course sur des tapis… J’ai besoin de variétés pour ne pas m’ennuyer. J’essaie d’y aller deux à trois fois par semaine. Je n’utilise absolument pas d’objets connectés dans ma pratique sportive. Je veux que cela reste un plaisir.
Peux-tu nous parler des voyages que tu as réalisée ?
Ces derniers temps, la plupart de mes destinations se sont concentrées en Bourgogne, à Autun dans le Morvan, précisément. C’est là qu’habite ma meilleure amie. Il y a tellement d’activités que je ne m’y ennuie jamais. Là-bas, je marche beaucoup, je vais à la piscine. Tout est à proximité. Le temps s’étire différemment. J’ai la sensation d’avoir enfin le temps, de vivre, de respirer. C’est une ville et une belle région à découvrir.
Sinon, il y a quelques années, je suis allée en Andalousie, en Afrique du Sud, à Cuba. De très bons voyages. Mais mon plaisir, c’est de ne rien faire, me poser sur une serviette, près de la mer, avec un très bon bouquin. Et c’est le paradis !
Peux-tu nous parler de ta garde-robe ?
J’ai plutôt un style classique. Je porte des vêtements conforts et féminins. Je suis plutôt en pantalon et bottines pour la vie de tous les jours, même au travail. Je porte des robes à l’occasion quand l’envie me prend. La matière doit être infroissable. Elle doit se remettre toute seule en place. Comme ça, je n’ai pas besoin de repasser.
Peux-tu nous dire ce que contient ton sac ?
Mon sac, c’est ma maison ! c’est le même en velours que je porte en bandoulière en hiver depuis deux ans. Il tient le choc le pauvre avec tout ce que je mets dedans : un livre, mon ordinateur portable, ma tablette, une trousse de toilette avec tout le nécessaire dedans, mon portefeuille qui contient des timbres, mes papiers d’identité et beaucoup de cartes de fidélité dont je ne me sers jamais, un cahier, des stylos… et en plus d’un sac de sport. J’essaie de m’alléger mais je n’y arrive pas. J’en ai aussi un autre pour l’été. Tous les deux sont solides, pratiques et féminins.
Peux-tu nous parler de ton appartement ?
Je vis dans un studio meublé. Mon compagnon a le sien. Je suis plutôt tendance «épuration » dans la déco, pour que cela soit un minimum confortable et cocooning, alors que mon compagnon a tendance à accumuler. C’est pour ça que nous faisons appartement à part. Comme ça, pas de disputes !
Que contient ton réfrigérateur ?
Les basiques : pâtes, œufs, confitures, fruits, légumes, yaourts, poissons.
Qu’aimes-tu te faire à manger ?
Je ne suis pas une grande cuisinière. Je fais la cuisine pour me nourrir avec des plats simples, faciles à préparer comme des pâtes et des quiches. Mon repas favori reste la ratatouille. En revanche, je ne prends jamais de petit dej’, à part un café.
Quand tu es devant ta télé, que mates-tu ?
J’ai la télévision mais je ne la regarde jamais. Je préfère lire.
Peux-tu nous donner tes conseils beauté ?
J’ai du mal à avoir des cheveux longs. Cela demande beaucoup d’entretien. Je les porte plutôt courts et au carré, plus pratique à entretenir au quotidien. Je fais de temps en temps des soins pour les nourrir. Je les teins parce que déjà j’ai des cheveux blancs. En ce qui concerne le maquillage, je mets du mascara et un peu de blush et rien d’autre. De temps en temps du rouge à lèvres. Mais je reste pour la plupart du temps au naturel. Donc, en vrai, je n’ai pas vraiment de conseils beauté à donner à part me mettre de la crème hydratante matin et soir sur le visage comme sur le corps.
Quel type de déodorant mets-tu ?
Pour le déodorant, j’utilise la pierre d’Alun.
As-tu un parfum que tu aimes mettre ?
Trésor de Lancôme
Niveau épilation, quelle partie du corps épiles-tu ?
J’ai pris un abonnement dans un institut de beauté body minutes pour avoir des prix d’épilation accessibles car j’y vais souvent. Par mon père, j’ai hérité malheureusement de sa pilosité généreuse. Je m’épile la jambe entière, les aisselles, le maillot (simple), la lèvre et les sourcils. La base pour me sentir « propre » et bien dans ma peau.
Fondateur du Lutèce du Parisien et rédacteur en chef depuis 2009.